Les dettes odieuses n’engagent pas le peuple
par Ridha Maamri
La dette extérieure de la Tunisie et ses corollaires, notamment les intérêts exorbitants qui pèsent lourd sur le budget de l’Etat et l’atteinte à la souveraineté du pays en matière de planification économique mais aussi politique, figurent parmi les points les plus contentieux après la révolution. Cette thématique, qui crée tant de polémiques dans les espaces politiques et économiques, a été débattue, vendredi, dans un atelier faisant partie du programme des travaux de l’assemblée préparatoire du Forum social mondial (FSM).