Ο Μελανσόν για το ελληνικό χρέος
L’effet domino, vite !

J. L. MELENCHON

2015-01-30 01 Melenchon (...) Le sort de la dette de la Grèce est évidemment le cœur du futur de ce pays ! Syriza l’a emporté par ses propositions sur la gestion de cette affaire. Beaucoup de commentateurs sont absolument paralysés devant cette question. Pour eux, cette dette est une sorte de fétiche dont la réalité ne peut être mise en cause. Voyons cela. Vous qui me lisez, venez faire provision d’arguments… Âmes sensibles s’abstenir…

 Certains prétendent même que son annulation provoquerait une catastrophe financière majeure. « Payez ou ce sera le désastre », disent-ils. En réalité c’est payer qui est le désastre. Tout le monde peut le constater en regardant l’état dans lequel se trouvent les pays qui payent. En réalité, tout le monde sait que cette dette est impayable. Je demande que l’on prenne cette expression au pied de la lettre. On ne peut pas la payer. Dire qu’elle sera payée est absurde. Cela revient à annoncer au peuple concerné qu’il devra consacrer toutes ses ressources, à perpétuité, à payer la dette. Car ce genre de dette est une boule de neige. Elle représentait 120 % de la richesse annuelle de la Grèce au début de la crise. Après 5 ans de cure d’austérité totale elle représente 190 % de la richesse produite en une année ! La discussion ne peut donc avoir qu’un objet : comment effacer la dette sans casse, c’est-à-dire sans que le système bancaire s’effondre. Aujourd’hui, dans ce post, je veux d’abord donner des arguments qui montrent pourquoi la question de la dette grecque ne se pose pas dans les termes simplistes dans lesquels nombre de commentateurs la posent. Je veux montrer que l’Histoire récente donne des arguments forts pour contester la prétendue intangibilité de cette dette.

La situation dans les Balkans de l’Ouest

SAMARY Catherine

2015-01-29 04 Samary Cet article correspond au chapitre « Balkans de l’Ouest » tiré de l’Étude du CERI / Sciences Po, Tableau de Bord de l’Europe de l’Est, du Sud-Est et de l’Eurasie [1]

Balkans occidentaux comprennent l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Kosovo, la Macédoine, le Monténégro, la Serbie.

 Cinq ans après la crise de 2008-2009, on ne parle plus dans les Balkans occidentaux de « rattrapage ». Le changement de paradigme prévaut dans les discours des institutions comme la BERD (Banque européenne de reconstruction et développement) et il est également perceptible dans la grogne sociale montante. Alors que les tensions entre la Russie et l’Union européenne se sont concentrées autour du projet de gazoduc South Stream, mais semblent aussi intégrer les sanctions contre la Russie, l’« avenir européen » suscite bien des interrogations, en dépit d’avancées formelles des négociations.

Joseph Stiglitz shows that a suspension of debt repayments can be beneficial for a country and its people

TOUSSAINT Eric

2015-01-27 02 Toussaint3 Since the European Union started facing an abyssal debt crisis and several countries have been caught in the stranglehold of their creditors, the prospect of defaulting has become a real possibility. A majority of left-wing and orthodox economists consider that a suspension of debt payment must be avoided. The loans granted by the Troika to Greece (May 2010), Ireland (November 2010), Portugal (May 2011), and Cyprus (March 2013) were allegedly intended to prevent those countries from defaulting, which it was claimed would have had disastrous consequences for the populations in the concerned countries. Yet several economists also develop strong arguments to defend a suspension of debt payment. Anyway, it has now become difficult to deny that the conditions attached to those loans combined with the increase in those countries’ debts have a dramatic impact on the populations starting with the Greek people. It is high time to understand that suspending debt payment can be a justified option.

Podemos dice que tiene propuestas comunes con Syriza pero también "muchas diferencias"

2015-01-20 03 Bescansa La secretaria de Análisis Político, Carolina Bescansa, asegura ahora que los resultados de los comicios en Atenas de este domingo no pueden entenderse como "una versión anticipada" de lo que ocurrirá en las generales de finales de año.

PÚBLICO

 MADRID.- Carolina Bescansa ha dejado claro este lunes que existen similitudes entre el proyecto político de Podemos y el de Syriza, pero también "muchas diferencias" entre ambas fuerzas que van más allá de lo contextual. "Creo que sería una inferencia no legítima creer que lo que ocurra en Grecia será lo que ocurra en España". "Es difícil inferir que lo que ocurra en Grecia será una versión anticipada de lo que pueda ocurrir en España", ha institido este lunes la secretaria de Análisis Político y Social de Podemos, apenas una semana antes de la cita de los griegos con las urnas, para la que los sondeos sitúan a Syriza como la fuerza más votada.

MIGUEL URBAN: "La concentración de cargos en Podemos me parece absurda y poco sana"

2015-01-20 01 Urban2 El candidato a la dirección de Podemos en la Comunidad de Madrid presenta hoy la lista con la que competirá contra Luis Alegre, del 'núcleo duro' de Pablo Iglesias. De resultar elegido, promete contar con su rival en su Consejo Ciudadano: "Yo no quiero ganar a Luis Alegre, sino a Ignacio González", zanja.

ALEJANDRO LÓPEZ DE MIGUEL

 MADRID.- Miguel Urbán lleva en Podemos desde el minuto cero de su historia, pero nunca ha casado con la línea oficialista del partido. El número siete en la lista del partido para las elecciones europeas dice no sentirse cómodo cuando se le encuadra entre los críticos, pero lo cierto es que defendió hasta el final un modelo político y fundamentalmente organizativo distinto al que la formación eligió por una aplastante mayoría de votos durante su asamblea constituyente.

El País Valencià con el pueblo griego, por el cambio en Europa

2015-01-17 02 Valencia-Grecia-Affiche Las próximas elecciones griegas pueden significar un punto de inflexión en el panorama europeo. Grecia se ha convertido en el laboratorio político y económico de las élites europeas, que han sembrado miseria y cansancio en todos los rincones del sur de Europa. Las recetas económicas de los recortes y la austeridad, basadas en pagar la deuda a expensas de los derechos de la ciudadanía, sólo han dejado paro, pobreza infantil, desesperación y barbarie, junto a la amenaza del retorno del fascismo encarnado en Amanecer Dorado, convirtiendo en contemporáneos males y problemas que parecían ajenos a Europa.

 Pero el pueblo griego no se ha resignado a ser el conejo de Indias de la Troika.

Manifestaciones, huelgas, cooperativas laborales y solidaridad han sido la respuesta a la dictadura del capital financiero y de los mercados.

2015-01-14 02 PikettyΤhomas Piketty and public debt

TOUSSAINT Eric

  We cannot but rejoice at Thomas Piketty’s refusing the Légion d’honneur that the French governement wanted to award him with at the beginning of 2015.  [1] A few days earlier in an op-ed in the French daily paper Libération Thomas Piketty fiercely exposed the absurdity of neoliberal policies, notably by the French and German governments, which enforce on countries such as Greece or Spain blatantly antisocial measures allegedly in order to repay their public debts. Piketty writes, ‘The amnesia award goes to Germany, with France a faithful second. In 1945, these two countries had a public debt at over 200% of GDP. By 1950, it had fallen to less than 30%. What happened, did they suddenly create budget surpluses that let them pay off that debt? Of course not: it was by inflation and pure and simple repudiation that Germany and France got rid of their debt in the last century. If they had tried to patiently build surpluses of 1% or 2% of GDP a year, they’d still be at work on it, and it would have been more difficult for the postwar governments to invest in growth. These are however the two countries that have been explaining since 2010-11 to South European countries that their public debt must be paid back to the last euro. This is short-sighted selfishness, because the new budgetary treaty adopted in 2012 under German and French pressure, that organizes austerity in Europe (with excessively rapid reduction of deficits and a totally inoperative system of automatic sanctions), has led to generalised recession in the Eurozone.’ [2]

Un mouvement ultra-réactionnaire, islamophobe et raciste en Allemagne : Pegida

KELLNER Manuel

2015-01-14 01 Kellner-Manuel Depuis octobre 2014, il y a en Allemagne des manifestations contre « l’islamisation ». La première de taille à faire la „une“ des médias avait été organisée par les « Hooligans gegen Salafisten » (HoGeSa, « Hooligans contre Salafistes ») avec 5000 participants dans les rues de Cologne, alors que les contre-manifestants n’avaient pu rassembler que quelques centaines de personnes.

 Après cela, c’est une initiative au nom de PEGIDA (“Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes” – „ Européens patriotiques contre l’islamisation de l’Occident“) qui a pris le relais. Il a été lancé par un certain Lutz Bachmann à Dresde qui est devenu son porte-parole. D’abord ce n’étaient que quelques centaines qui venaient aux « manifestations du lundi » dans cette ville de Saxe dans l’est de l’Allemagne qui criaient entre autres « Wir sind das Volk » (« Nous sommes le peuple »), allusion consciente aux manifestations de masse en 1989 contre le régime du SED dans la RDA. Puis, ce furent des milliers, et en mi-décembre 15.000 (et même plus d’après certaines estimations). Il y avait à peu près 6.500 contre-manifestants. L’initiative a été reprise dans d’autres villes et régions, et le mouvement était vite au centre du débat politique public en Allemagne. Un certain nombre de politiciens comme la chancelière Angela Merkel se sont vite distancés de PEDIGA, mauvais pour l’image de l’Allemagne dans le monde. Mais beaucoup d’autres ont déclaré qu’il faut « prendre au sérieux les soucis des gens ». Quels soucis ? Le chômage, la précarité, l’inégalité sociale de plus en plus grotesque, la destruction de nos bases naturelles de survie ? Non, le souci d’être inondé par un océan d’étrangers avec les « prêcheurs de la haine » musulmans et les terroristes islamistes à la clé…

Toussaint-Rodriguez-Katrougalos:

Strategies for  confronting the debt crisis

Dear GUE Colleagues,

2015-01-13 03 CADTM-logo syriza podemos The issue of sovereign debt is today in the centre of European political debates. The rising political forces are confronted with serious dilemmas on how to deal with it, and different proposals and strategies are being elaborated within our organisations. We want to continue the international debate on these issues amongst left forces. Please be invited to this

Workshop: Strategies for confronting the debt crisis.
20th January – 12.30-15.00 – Room A1E201

Presented by Eric Toussaint (CADTM)

Cohosted by:

MEP Georgios KATROUGKALOS (Syriza)

MEP Teresa RODRIGUEZ-RUBIO (Podemos)

Con el pueblo griego, por el cambio en Europa

2015-01-13 02 Por-el-cambio-en-Grecia Las próximas elecciones griegas pueden significar un punto de inflexión en el panorama europeo. Grecia se ha convertido en el laboratorio político y económico de las élites europeas, que han sembrado miseria y hartazgo por todos los rincones del sur de Europa. Las recetas económicas de los recortes y la austeridad, basadas en pagar la deuda a costa de los derechos de la ciudadanía, sólo han dejado un rastro de paro, pobreza infantil, desesperación y barbarie, junto con la amenaza del retorno del fascismo encarnado en Amanecer Dorado, convirtiendo en contemporáneos males y problemas que parecían ajenos a Europa.

Après les assassinats à Charlie Hebdo : Contre le fascisme, religieux ou nationaliste, contre le racisme, défendons les libertés publiques et l’égalité

SUD EDUCATION

2015-01-10 03 SUD-education Contre le fascisme, religieux ou nationaliste, contre le racisme, défendons les libertés publiques et l’égalité

 Communiqué de la fédération SUD éducation du 8 janvier 2015 après les assassinats à Charlie Hebdo

Jeudi 8 janvier 2015

 Nous avons été choqué-e-s par les assassinats qui ont coûté la vie à 12 personnes dans les locaux de Charlie Hebdo et causé de nombreux/ses blessé-e-s. Nous tenons à apporter notre solidarité aux victimes et à leurs proches. Nous condamnons sans réserve ces actes horribles.

 Notre émotion est immense. Charb, notamment, avait été présent comme illustrateur à plusieurs congrès de notre fédération et nous utilisions fréquemment ses dessins dans nos publications, ainsi que ceux d’autres victimes.

Nous sommes Charlie

MERMET DANIEL

2015-01-10 02 Mermet-Daniel Nous avons si longtemps fait la route ensemble, du même bord, du même rire, du même rêve, poussés par le même besoin irrépressible de tirer la queue du tigre qui dort à condition qu’il ne soit pas en cage. Mais pas pour rien. Un rire pas pour de rire, pas comme ce ricanement cynique qui dit qu’on n’y peut rien, que c’est toujours pareil. Le rire de Charlie, c’est pour changer le monde, pour étendre la surface de la cage et pour la supprimer un beau soir. Et ça passe par la transgression, par le franchissement des lignes bienséantes. « RIRE TUE », disait Choron. Nous avons fait la route ensemble, mais les chemins se sont écartés aussi, il faut le dire nous nous sommes tant aimés et tant engueulés. Fraternellement engueulés. Jusqu’à la prochaine tournée. Jusqu’à la place de la République mercredi soir, où des gamins escaladent la statue en criant « Liberté, Égalité, Fraternité ! » en hommage à Charlie.

Charlie Hebdo – Mon ami Charb : les salauds, les cons, l’émotion ordinaire et la tendresse

CORCUFF PHILIPPE

2015-01-10 01 corcuff Même si je n’avais pas connu les victimes, ce qui s’est passé hier serait dégueulasse. Mais je connaissais les victimes, j’ai collaboré à Charlie Hebdo comme chroniqueur d’avril 2001 à décembre 2004, et je suis effondré….

Cabu, Bernard Maris, Tignous, Wolinski…étaient pour moi des visages familiers. Et surtout Charb, qui est devenu au fil du temps un ami avec qui les liens ont perduré jusqu’à aujourd’hui. Ils m’on tant fait rire et je n’ai plus envie de rire.

Charlie Hebdo : Daniel Bensaïd, Charb, Maris... et le jour funeste des croyances fanatiques

 ASSOCIATION DANIEL BENSAID

2015-01-08 01 Bensaid-D2015-01-08 02 Charlie-hebdo Des fois aveugles et des croyances fanatiques

Ce 7 janvier 2015 restera à jamais un jour funeste pour les amoureux de la Liberté.

Un jour funeste, celui des croyances fanatiques, des « fois » aveugles et meurtrières.

Des journalistes, des dessinateurs en sont aujourd’hui les victimes, parce qu’ils ont refusé de se laisser censurer, parce qu’ils ont refusé de céder à la peur. Dans cet attentat, Charb, auteur avec Daniel de Marx Mode d’emploi et présent à l’hommage qui lui avait été rendu à la Mutualité le 24 janvier 2010 avec des dessins qui émaillent notre site, a perdu la vie. A ses côté Bernard Maris, économiste, ancien collègue de fac de Daniel, est également décédé.

Une folie barbare et réactionnaire. A Paris, tous à 17h Place de la République.

2015-01-07 04 Charlie-hebdo NPA1 L’attaque du siège du journal Charlie Hebdo provoque l'indignation et la colère devant une telle violence aveugle et meurtrière contre des journalistes, des salariés. Elle vise à semer la terreur, contre la liberté d'expression, la liberté de la presse au nom de préjugés réactionnaires et obscurantistes.

Nous avons souvent eu l’occasion de nous engager, de débattre, voire de polémiquer avec les dessinateurs et journalistes de Charlie Hebdo, et avec qui nous avons eu des combats communs.

Le NPA adresse sa solidarité aux proches et familles des victimes, aux journalistes, aux salariés de Charlie Hebdo.

Le chaudron bosniaque avant l’explosion? 200 ouvriers de quatre entreprises de Tuzla en marche à la frontière...

 PAVLOVIC Radoslav

2015-01-04 04 Tuzla-workers-march Ces lignes, écrites ce dimanche 28 décembre 2014 à 9 heures, sont rédigées « à chaud », alors que se déroule sous haute tension la lutte des classes en Bosnie-Herzégovine, dont personne ne sait d’avance le dénouement.

200 ouvriers de quatre entreprises de Tuzla – Dita, Konjuh, Aida et Livnica (industries de lessive, de bois, de chaussures et une fonderie) - ont décidé il y a dix minutes à Orasje, à la frontière croate, qu’ils partent pour de bon pour quitter leur pays, et aller chercher n’importe où en Europe, un peu de travail et un morceau de pain. Ils ne savent même pas si l’on les laissera passer la frontière, mais ils savent qu’ils mènent le combat de toute une vie, combat du dernier espoir, combat politique au plus haut niveau, et qu’ils n’ont plus rien à perdre, ne pouvant dans ces jours de fête partout en Europe offrir même pas une confiserie bon marché à leurs enfants.

New social movements arise in Bosnia Herzegovina – grassroots, assemblies and unions...

MILAN Chiara

 2015-01-04 03 Milan-Chiara New grassroots movements, assemblies and unions are arising in Bosnia Herzegovina. Other post-Yugoslav countries experience similar returns of the left.

What’s going on in Bosnia Herzegovina ten months after the uprising? [1] Following the violent riots in February 2014 [2], the citizens of Bosnia have jointly channeled their rage into horizontal and self-organized assemblies called plenums, which mushroomed throughout the country and surfaced in as many as 24 cities and towns. Unfortunately, the flood that hit the country a few months later appears to have wiped out the new experiments of collective self-organization. But the protests, plenums and even the flood contributed to activate a solidarity chain that has now translated into an informal network calling for social justice.

Viviendo en Deudocracia: ¿Por qué el Financial Times es mal compañero de viaje de Podemos?

  por Sergi Cutillas*

2015-01-01 01 Cutillas Podemos ha aprobado recientemente una resolución que afirma querer reestructurar la deuda pública. También ha indicado que le gustaría hacerlo dentro del marco de un gran pacto Europeo.

 A pesar de las voces de la caverna española que en estos momentos critican a Podemos por cualquier razón, con independencia de lo que diga o haga, la resolución ha sido bien recibida desde las altas esferas financieras globales y globalistas. El lunes Wolfang Münchau, director adjunto del Financial Times y uno de las voces más influyentes a nivel mundial en el ámbito financiero, entre otras cosas por ser director del think tank Eurointelligence, especialmente dedicado y diseñado para promover la unificación con éxito de la UE y la Eurozona, decía que Podemos tiene razón en su posición respecto a la deuda.

¿Somos todos Podemos?

Manuel Garí

2014-12-26 01 gari-manuelEl pasado sábado día 20 de diciembre Alberto San Juan en una entrevista en el programa de la noche de La Sexta TV en conversación con el Gran Wyoming, afirmó que "todos somos Podemos", por lo que en vez de criticar debemos actuar. No puedo sino estar absolutamente de acuerdo con este mensaje. El problema es que es polisémico, por lo que hay varios significados y niveles de significación que es conveniente desentrañar.

Desde el punto de vista del militante –mi caso- o al menos del inscrito y votante virtual de Podemos, la afirmación de San Juan es una gran verdad. Nos apuntamos porque quisimos, algunos lo hicimos desde el momento cero y no tenemos intención de apuntarnos a la legión de "podemólogos" que se dedican a sacar punta sin ton ni son, pero tenemos opinión y vamos a actuar para que el partido proponga a la sociedad y se organice como creamos que es lo mejor para la mayoría social.

Debt, a weapon of mass destruction aimed at the people

by Pascal Franchet

2014-12-23 01 Franchet-Pascal To begin I will start with a statement by Warren Buffet, who, according to Forbes magazine, is one of the richest men in the world: "There’s class warfare, all right, but it’s my class, the rich class, that’s making war, and we’re winning (New York Times 26/11/2006).”

 This cynical statement has the merit of clarity. We are talking here of war, economic war that is not constrained by borders and does not bother about nationalities, only about the interests of one social class. This type of war is responsible for millions of deaths each year, it is comparable with armed conflict. As the capitalist economy has become global so, along with it, has economic warfare.

 This remark is intentionally general. I want to present a wide framework in which many different situations may exist. My presentation is not cover all situations and will not be giving lessons to anyone or talking in the place of anyone. Each country or group of countries has its own experience in terms of public debt and I come here, just as much, to learn about them; from you.